Décidément, la Revue Scoute 2025, A star is burnes, aura été un indéniable succès. Plus de 37 000 spectateurs ont encore franchi le pas pour être confrontés à… l’innommable !
Ce spectacle, aux tableaux toujours amphibologiques, sombre trop souvent dans la garrulité la plus abjecte. Ils osent tout sans vergogne. Ils renversent nos idoles avec des arguments captieux. Ils adorent les ragotins et les jocrisses. Ils méprisent le beau, le bien et le vrai, alors que c’est vrai, le beau, c’est quand même bien. Ils se targuent d’une vision prodromique autant que messianique de l’histoire en inventant des titres alléchants mais qui ne tiennent hélas pas leurs promesses.
Il est temps d’organiser la résistance. Les ligues de bien-pensance doivent se dresser pour leur barrer la route. Retrouvons, comme ont su le faire nos amis ricains la vigueur d’un maccarthisme atélophobe mais bien de chez nous ! Soyons forts, merde ! Trêve d’oblativité, de longanimité, nous, public, exigeons une Revue Scoute 2026 propre sur elle et emplie à nouveau de textes immarcescibles.
P.S. : Que ceux de nos lecteurs qui auront compris que ce très beau texte est écrit par l’IA, nous écrivent pour nous l’expliquer. LA REVUE SCOUTE.
Avec la Troupe de la Revue Scoute
Mise en scène : Daniel Chambet-Ithier
© Acte 5 – Patrick Boehler
Production : Acte 5
